Face à la marchandisation de l’art et à l’uniformisation des esprits, notre galerie offre un espace convivial, respectueux des œuvres et financièrement abordable aux artistes et au public, y compris des classes les moins favorisées. Un espace où sont exposées les productions actuelles de l’art vivant.
Sans parti pris esthétique et dans le but de démocratiser l’art et la culture en général, toutes les œuvres, -même les plus audacieuses sur les plans de la forme ou du fond- pourront y être exposées et donneront lieu à débat entre artistes et avec le public.
Avec l’idée d’élargir notre horizon, la galerie veillera aussi à établir des ponts avec les associations, en Belgique et à l’étranger, qui oeuvrent avec les mêmes préoccupations.
Vernissage le 7 novembre de 14 à 18 hrs. Exposition accessible tous les samedis de novembre de 14 à 18 hrs.
« L’essentiel reste invisible ». Paradoxal pour une exposition de photos ? Non.
Je pense que c’est justement l’essence même de la photographie. Choisir un instant. Qui n’est qu’un jalon dans le temps. Et de fait, laisser les autres instants invisibles.
Tout ces autres moments qui forment, au fond, l’essentiel.
Mes photos se veulent indices. L’essentiel reste invisible.
Oeuvres des nominés du concours photographique organisé par l’asbl
« Sauvegarde et Avenir des Coteaux de la Citadelle » et remise des prix aux vainqueurs du concours.
En présence du photographe liégeois bien connu Vincent Botta qui exposera quelques unes de ses photos. Seront également exposées les photographies de Françoise Klauner sur le même thème des coteaux.
Pour le plaisir. Je fais des photos pour le plaisir sans autre envie que de montrer ce qui me touche et que je trouve un peu étrange ou amusant
A tous les comédiens et amoureux du théâtre Le Moderne... Si vous voulez revivre ces spectacles :Il était une fois les deux orphelines - Scènes de chasse en Bavière - Les paravents - Grand guignol Interviews - Festen - Pas de morale Monsieur de La Fontaine - La jeune fille et la mort - Amour et bastonnade - Bêtise absurde - Cérémonie remise des trucs en or - La vie d’un couple - Les contes d’une petite fille moche - Conte de monsieur Jean - Un marché peu ordinaire - N’oublie pas mon petit soulier Cet enfant - Vincent River - La reine de beauté - Cinq ou six ratons laveurs - De cour à jardin, l’air de rien La commune - Un coeur normal -Du sang sur le coup du chat - Peau d’âne - Le cabaret des hommes perdus - La scène côté cuisine - Les 48 h folles A plus inconnu que le soldat inconnu, sa femme Comme en 14
Attendez ... il va peut être se passer quelque chose… a été mon adage pendant ces trois dernières années. Levée avant l’aube, j’arrivais régulièrement avec, voire avant les organisateurs de quelques 70 fêtes, marches et processions à travers la Belgique ou le nord de la France.
Ensemble, nous guettions l’arrivée des participants, ces « héros d’un jour ».
Pendant la distribution des multiples accessoires et l’ajustement des costumes, nous augurions du temps qu’il ferait (en Belgique il est souvent maussade) en espérant qu’il se remettrait ? Moi par contre, j’aimais ce temps incertain, comme était incertain le sort de ces fêtes.
Moments ou rencontres parfois surréalistes, quelquefois cocasses, mais toujours « bon enfant », photographies chaleureuses, empreintes du charme de cette Belgitude qui nous tient tant à cœur.
Le dimanche 9 avril 1995 (nous n’avons donc … pas tout à fait 20 ans …) le cercle de photographes « Priorité à l’ouverture » est accueilli par le théâtre Le Moderne ! Sous la houlette d’Albert Budo et Claire Heuskin (un grand merci !) et après avoir redonné vie à une aile du bâtiment qui prenait l’eau.
Créer la Galerie Ouverture fut la seconde décision. Pour offrir un lieu ouvert à l’expression plastique et à la photographie. Bien plus tard, cela deviendra un lieu exclusivement dédié à la photographie : la Galerie Photographique Ouverture. Vu le peu de place qui lui est officiellement réservé et la volonté de fidéliser un public autour des créateurs d’images. 140 EXPOSITIONS vont naître alors !
Rien de plus beau que la rencontre des arts au théâtre Le Moderne !
Le projet "Voluptés en deux tons" nous parle de cette infinitude de l’art qui brise tout frontière imposée. Photos et mots démêlent les fils de la posture habitée du corps tout en rondeurs de la femme enceinte.
Rien de plus beau que les formes de la femme enceinte, esprit de lumière, illuminée par la beauté de l’être qu’elle cache en elle. Et surtout rien de plus exaltant que l’échange et le travail mis en commun de deux artistes (habitant deux continents différents) pour arriver à cet ensemble de voluptés artistiques.