Ouvertures

Gérouville : Visages d’aujourd’hui...paysages et souvenirs d’enfance

Gérouville, pour les 750 ans de ce petit village de Gaume.
dimanche 10 février 2008 par La rédaction

Un projet déjà en très bonne voie de Francis Cornerotte. L’exposition est programmée pour le 20 septembre 2008 à l’Ancienne Ecole des Garçons de Gérouville, pour les 750 ans de ce petit village de Gaume.

1. EXPOSITION DE PORTRAITS EN NOIR ET BLANC
« Les habitants de Gérouville » :
30 à 40 portraits choisis comme représentatifs du village -
Encadrés en 40 cm x 40 cm – Photographies et tirages argentiques

2. PROJECTION DE PHOTOGRAPHIES NUMERIQUES :

 Les paysages caractéristiques de la région, en toutes saisons.
 Le village et son animation

Cette présentation n’a pour objectif que de donner une vague idée de ce que sera l’exposition photographique consacrée aux portraits.

En effet, faire un choix est prématuré aujourd’hui vu le travail de prise de vue qui est loin d’être terminé. Il reste en effet pas mal de visages à saisir.
Il faut se remettre à l’ouvrage et … le meilleur est à venir.
L’exposition de 30 à 40 portraits, en noir et blanc, choisis parmi des centaines d’autres, sera encadrée dans un format 40 x 40 cm. Il s’agit d’une réalisation en argentique, de la prise de vue jusqu’aux tirages en laboratoire (format de négatif 6 x 6 cm).

L’AUTRE PARTIE DU TRAVAIL, soit les photographies couleurs montrant les paysages caractéristiques de Gérouville, et les rues du village avec leurs animations ou activités, sera, elle, projetée. Les portraits qui n’ont pu être exposés, également.
Mais il n’est rien montré ici. Le travail est bien avancé.
Mais il faut en garder la surprise …
Il s’agit (sauf les portraits) d’un travail réalisé en numérique.

Le photographe

Je devais remonter la côte de Meix, comme on remonte le temps, fraîchement descendu du train et retournant chez mes grands parents. A pied, malgré le poids de ma valise et les 6 km qui me séparaient de l’« épécé de chez la Marie ». Je devais avoir dans les 12 ans.

D’où que l’on vienne, le village était perché au milieu des prés, avec à son point ultime, son église qui semblait implorer le ciel. Et à ses pieds, bien alignées et serrées les unes contre les autres, les petites maisons de Gaume et leur usoir. Plus bas, après le cimetière, le val d’or, tranquille, où les feuillus « se la disputaient » aux prairies.

Plus loin enfin, on atteignait l’abbaye d’Orval, où travaillaient mon parrain Michel et mon oncle José.

Francis Cornerotte

Le texte complet de Francis
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Portfolio

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